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mes-ecrits
Description du blog :
...la plume sous nos sentiments laissent des traces, chacun à une histoire à raconter...
Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
06.12.2009
Dernière mise à jour :
29.06.2011

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LE BONHEUR DE RENDRE HEUREUX

LE BONHEUR DE RENDRE HEUREUX

Publié le 10/04/2010 à 20:59 par mes-ecrits
LE BONHEUR DE RENDRE HEUREUX

A lire jusqu'au bout, ça donne à réfléchir!

Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.

L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre.

L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.

Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.

L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.

Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.

Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil..
Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.

Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.
L'infirmière , heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.

Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors.

Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !

L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.

L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.

Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.
Epilogue :

Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.

La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.

Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.

Bonne lecture

Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.

L'origine de ce message est inconnue, mais il porte-bonheur à chaque personne qui le transmet.

Ne gardez pas cette page.

N'envoyez pas d'argent.

Envoyez-la à cinq de vos amis à qui vous souhaitez la bonne chance.

Bonne journée et Excellente semaine à tous.

:: Les commentaires des internautes ::

aliana le 11/04/2010
c une très jolie leçon de morale!!!!!!!
http://aliana.centerblog.net


aliana le 12/04/2010
cc, et oui j'aime beaucoup ce genre de film!!!! heureusement que toute les filles ne sont pas des petites chochotes!! LOL!
bonne aprém
bisous

http://aliana.centerblog.net


corentine le 12/04/2010
Le mur gris de qui cachait des scènes amusantes et pittoresques m'a fait penser au rideau d'un théâtre qui se ferme sur une pièce au moment de l'entre-acte quand on imagine déjà la suite de l'histoire et qu'on en discute avec un ami. Ton site m'a
http://corentine.centerblog.net


flora le 12/04/2010
je fus tout simplement touchée par l'histoire.elle est vraiment à lire et relire!!!