
Nom du blog :
mes-ecrits
Description du blog :
...la plume sous nos sentiments laissent des traces, chacun à une histoire à raconter...
Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
06.12.2009
Dernière mise à jour :
29.06.2011
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merci à l'zuteur
Par Anonyme, le 26.01.2025
oui set roman est interagissent
Par Anonyme, le 16.11.2024
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Par Anonyme, le 30.10.2024
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Par Anonyme, le 13.02.2024
le conclusion de l'arbre fetiche
Par Anonyme, le 18.01.2024
- Je suis désolé Falonne pour toi. Je ne pouvais pas savoir que ton mari. Jt’ai prévenue quand même. Tu es aussi coupable. Tu l’as poussé à bout.
Falonne entra dans une grande colère :
- Tais toi traîtresse. Tais toi. Si j’avais su que tu sortais avec cet individu qui déteste Jérémie je ne sais pas pourquoi je ne t’aurais rien dit.
- Tu n’as qu’à t’en prendre à toi-même ma chère ce n’est pas moi qui est trompé mon mari avec son frère le trahissant et le poussant à devenir un vil individu maintenant en cavale. Et puis si t’as la mémoire courte laisse moi te rappeler que y a 2mois je te faisais savoir que j’ai fais la connaissance d’un type chic et bien du nom de ben et que c’était un audit çà tu as oublié.
- Sort de chez moi et ne revient plus mauvaise fit Falonne très énervée
Geronimo quand il descendit se rendit à la police. D’abord les flics le prirent pour Jérémie et l’enfermèrent refusant de l’écouter mais heureusement un membre, prêtre de la communauté qu’il avait aidé le défendit et l’on le libéra. Il renseigna alors sur le montant du détournement. L’on lui fit savoir que même s’il payait son frère passerait des années en prison. Il évalua l’état des finances. C’est alors qu’il remarqua que ……Mon dieu !
Madame Armélie était entrain de fermer la grange quand des hommes virent prétendant être des huissiers. Quand ils eurent parlé à la dame celle-ci crut que le ciel lui tombait sur la tête. La ferme était saisit, hypothéquée par son fils on lui apprit en même temps que celui-ci était en fuite pour délit. La police venue en même temps que les huissiers fouilla la ferme de fond en comble. On s’étonnait qu’elle ne sache pas alors que la nouvelle circulait depuis deux mois. Madame évidement ne lisait pas le journal. Dans ce lieux isolés !
Geronimo décida de retourner chez Jérémie. Peut être leur mère était encore là. En fait depuis qu’il avait coupé les ponts Geronimo n’avait plus eu de nouvelles et personnes ne s’était inquiété de son silence, pas même sa mère. Il ouvrit la porte de l’appartement. Celui-ci était plongé dans une semi obscurité. Il actionna la lumière. C’est alors qu’il tomba sur Falonne en nuisette il voulut sortir quand elle lui fit :
- Où tu vas comme çà, je t’attendais
Une arme à feu pointée sur lui elle lui ordonna de rentrer et de fermer la porte à double tour.
- Enfin t’es là. Ton frère est en cavale mais t’es là et tu vas pouvoir me faire rattraper tout ce temps avec ce manque de toi : fit elle.
« Seigneur »
- oh j’oubliais, les films sont en routes pour le Vatican donc tu peux mettre une croix sur ton sacerdoce fit elle.
Au moment où elle s’approchait de Geronimo, la porte de derrière s’ouvrit. Jérémie apparut. Tout sale, sans crier gare il les mit tous les deux enjoues :
- comme c’est touchant. Enfin réunit les deux adultères sous l’œil de la justice. Madame la femme infidèle qui jurait de ne pas me pardonner parce que j’avais manqué de confiance en elle et monsieur futur monseigneur menteur, blasphémateur et hypocrite en plus d’être traître. Apparemment tu attendais que je sois mis hors d’état de nuire pour te pâmer dans mes draps avec ta maîtresse. Ou bien ?
Madame Armélie était dans sa chambre dans la maison de l’une de ses amies quand le portable sonna. A l’autre bout du fil son fils :
- Bonsoir chère maman !
- Jérémie mon dieu où est tu ? Comment va tu ?
- Ah tu t’en soucies ? C’est nouveau çà. Ce serait plutôt de ton enfant chéri dont il faut se soucier car il va bientôt mourir là.
- où es tu ?
- Viens à mon domicile et tu verras !
Madame Armélie sortit paniquée, il était 7h00. Elle rencontra Barbara qui venait lui présenter ces excuses. Au salut de celle-ci elle l’ignora presque la bousculant ânonnant : je vais voir mon fils, mon fils
Où allait ainsi la dame, pressée se demanda Barbara.
La sonnerie carillonna. Jérémie fit à Falonne :
- Va ouvrir.
Madame Armélie entra. Au même moment Geronimo tenta de raisonner son frère s’avançant vers lui. Jérémie tira, le touchant à l’épaule :
- Reste tranquille frèrot, ton tour viendra de mourir.
Puis s’adressant à leur mère il fit :
- tu vois ce que tuas causé. Voila là où j’en suis par ta faute
Falonne se mit à pleurer :
S’il te plait ne nous fais pas de mal. Je t’en supplie.
- ah la pute tu sais pleurer. C’est nouveau çà. Où c’est, oui sûrement des larmes de crocodile.
Falonne se révolte contre la dame :
- Tout ceci c’est a cause de vous, vous auriez du me laissez.
La dame sembla offusquée :
- comment ose tu ?
Jérémie fit :
- Tais toi connasses ! Puis il fit bien que t’es en partie raison.
Geronimo ouvrit grand les yeux. Jérémie fit :
- alors maman tu croyais m’avoir hein ! Avec ton fils chéri. Tu détruis ma vie et celle de cet idiot qui au lieu de s’occuper des œuvres de Dieu pervertie son âme et se rend coupable de trahison.
La dame parut étonnée. Son fils reprit :
- Soit pas étonnée, je t’ai entendu quand tu parlais avec cette pimbêche ce soir là. Vous rigoliez bien. Et tu parles d’une mère
- Elle fit je l’ai fais pour une bonne raison. J’ai toujours été contre le faite que Geronimo entre dans les ordres….
Madame vit le regard triste de geronimo. Sa mère était la cause de tout çà. . Elle soupira et passa à table :
- Quand j’étais plus jeune.
Jérémie la coupa :
- Tu veux encore nous raconter quelle berceuse.
La dame fit fi de son intervention et poursuivit :
- Quand j’étais jeune avant que je ne rencontre votre père j’étais jeune et amoureuse. A cette époque j’avais eu un enfant. Maxime aujourd’hui 40 ans. Maxime était épris de Dieu comme toi Geronimo à la différence qui le fut plus jeune. Il était gai jovial, c’était ma force dans la tourmente et mon réconfort. Il aspirait comme toi à la vie sacerdotale et je l’y encourageais. Mais il avait un don. Celui de prévoit l’avenir des gens et de prophétiser ce qui en faisait un garçon spécial. Sa petite popularité dont d’ailleurs il ne se vantait point fi des envieux évidement. Mais j’avais appris à mon fit à repondrepar le calme et le silence au provoquations. Un jour un élève de l’école du village provoque une bagarre. Mon petit Maxime évita au maximum de lui répondre mais c’est alors que le garnement sortit un couteau de chasse qui devait appartenir à son père et le poignarda mortellement. Mon fils fut amené aux urgences et succomba avant même que le docteur pu l’examiner. Avant de mourir il fit : maman pardonne lui. J’intentai un procès contre cet assassin en miniature mais nous perdîmes le procès car le père ce l’enfant était un homme influent et riche. Depuis ce jour je n’ai pas oublié et je n’oublierai jamais. J’avais juré que je ne laisserai plus Dieu m prendre mes enfants car il n’avait rien fait pour empêcher mon enfant de trépasser pas plus qu’il ne m’avait rendu justice. Cet assassin s’appelle Ben Khinto.
Tout le monde fit Ô !
Plutard je me suis marié avec votre père Houéfa. Nous eûmes vous toi et Geronimo. Tout allait bien jusqu’à ce qu’un jour Geronimo nous affirma qu’il avait envie d’aller au séminaire. Je m’y suis opposé ce jour là. Mais votre père l’avait soutenu me demandant mes raisons, raisons dont je lui jamais parlé jusqu’aujourd’hui. Voilà même si cela ne justifie pas mon acte je vous demande de me pardonner.
Les enfants avaient les larmes aux yeux. Leur mère leur avait gâché la vie pour çà ? Falonne fit :
- Si j’avais su…. Moi aussi je te dois une explication jérémie. Ton frère n’est pas coupable car moi seule le suis. J’étais tellement aveuglé par mes sentiments que j’ai été très égoïste. En fait toutes ces photos et films ont été pris sous la contrainte et ce fut des pièges. En fait depuis notre fortuite rencontre ce premier jour. J’étais entré chez toi embrasant Geronimo que j’avais pris pour toi. Il m’avait vite détrompé. Mais ce qui m’a plu était son calme et sa personnalité. Certain aurait profité de la situation mais lui non. Puis je n’ai pas arrêté de penser à lui et c’est vite devenu une obsession.
A ce moment la police débarqua dans le domicile arme au poing précédé de Ben Khinto. Madame Armélie le reconnut au même moment que lui elle. Avant que les policiers n’aient même le temps de réagir, madame Armélie arracha l’arme de la main de son fils dont elle s’était rapproché et tira sur l’audit. Celui-ci reçu la balle en plein cœur simultanément les policiers tiraient et la dame fut criblée de balle. Jérémie se précipita vers leur mère :
- Maman !
Le policier dans la confusion crurent qu’il voulait prendre l’arme et tirèrent. Geronimo s’interposa recevant les balles. Avant de s’écrouler.
- Non ! Cria Jérémie.
Les policiers embarquent Jérémie tandis que l’ambulance se charge de Geronimo grièvement blessé. Jérémie est condamné à faire de la prison. Son frère échappa à la mort par miracle comme l’on dit les médecins .aussitôt sorti il fera tout pour que les dettes de son frère soit payé avec le patrimoine qu’il s’était offert avec son travail et la petite fortune que leur père à l’insu de tout lui avait légué et dont il en avait pris connaissance le jour de sa mort. Deux année plutard Jérémie était libre et refit sa vit avec Barbara avec qui il avait passé de bon moment lors de sa crise conjugale et qui lui avait tenu rancune quand il l’avait délaissée la poussant dans les bras d’un autre homme qui par malheur fut ben Khinto. Falonne prendra la fuite rongée par le remord et la honte. Elle enverra aux deux frères une très longue lettre dans laquelle elle les suppliait de lui pardonner.
Derniers événements 3jour plutard : le père Alphonse avait depuis déjà un an reçu les photos et films incriminant Geronimo de fautes grave de luxure. Cependant il n’arrivait pas à mettre ce jeune homme devant ses responsabilités. Il comprenait maintenant le sens des flagellations que s’infligeait le jeune prêtre. Celui-ci luttait contre la tentation et priait pour que son âme ne tombe pas et lui Alphonse il le savait. O que si il ne pouvait le nier il l’avait jeté dans la gueule du loup en l’envoyant en mission au Mali. Maintenant il se demandait que faire ?
Le père jéroboam me regarda tandis que j’écoutais encore attentivement son histoire et que dehors le jour paraissait déjà sous l’aspect d’un magnifique aurore qu’on pouvait voir à travers les persiennes. Je vous la pose jeune homme fit il :
Que feriez vous à la place du père Alphonse ? Et Quels sens donneriez vous a l’amour et quelle amour ?
Puis il se leva et prit congé de moi. Avant de partir de l’auberge, et ce fut la dernière fois que je le vit il me fit :
Si vous trouvez l’attitude à avoir par rapport au père Geronimo appliquez la moi. Et il sortit. Dire que j’étais dans l’auberge de l’histoire. Je me levai et sortit me promenai du coté de l’église. En me faufilant entre les tombes du cimetière catholique le vit la tombe de Madame Amélie Houéfa. Une main anonyme avait inscrite ces deux phrases :
« Redde cæsaris quae sunt caesaris et quae sunt Dei Deo »
« Sit tibi terra levis ! »
Traduction :
« Rendez à césar ce qui appartient à césar et à Dieu ce qui appartient à Dieu »
« Que la terre te soit légère ! »