E-Coin poèmeS

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Slam -la femme qu’on insulte

La femme qu’on traite  de prostituée
Est  la même de son trône que tu as destituée
Les habitués l’appelle prostituée
Hommes qui croyez être habilités à la traiter de « femme avide de facilité »
Pourtant c'est en elle que coule votre avidité  et perversité
C'est elle que vous doigté,
C’est elle qui a accueilli leur giclée
Et qui permet a votre ego à la maison giflé
Peut être
De se retrouvé entre ses cuisses revigoré

A .Yannick .T.S.

Slam –l’amour

L’amour
C’est avec les premiers battements de cœur sur un autre tempo
On écrit les premières pages d’une histoire, il était une fois
L’amour
C’est l’enchantement, on s’dit j’ai trouvé  l’âme sœur avec les autres y a pas photo
L’amour
On a beaucoup de cliché, on a beaucoup d’images
A des amis on dit, je te raconterais une autre fois
L’amour
C’est une danse une autre cadence
Qui fait fleurir les sens
Qui fait mourir d’impatience

Qui naît de a présence
Qui connaît ton absence
L’amour
L’on veut que çà dure longtemps
Et l’on a déjà plus le temps
L’amour
C’est aussi les premières peurs, on surveille ses défauts
Peu à peu on en devient maniaque
L’amour
Cà engage plus que le cœur, on donne plus qu’il n’en faut
Peu à peu on en devient insomniaque
L’amour
Peu à peu les jours s’effacent
De notre vie cette face, pour elle on se dépasse
L’amour
Il est merveilleux quand on a trouvé le centre de son cercle
Il n’en est que plus parfait
L’amour
On veut l’emprisonner
Mais laisse le libre au risque qu’il veuille se libérer
L’amour
On veut l’apprivoiser
Mais laisse le vivre au risque de l’étouffer
L’amour
C’est soupir après soupir
C’est souvenir sur souvenir
C’est un rire
C’est un sourire
C’est le meilleur quand on y met du cœur
L’amour
Vis chaque jour comme son dernier
Plus les jours passent, il n’en sera que plus beau que le premier
L’amour
Il ne finit pas toujours par : ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfant
Alors s’il te reste fidèle sache l’écouter, le respecter, le préserver et surtout le conserver

A .Yannick .T.S.

Slam – j’s8 locataire

Tiens voila qu’il me parle encore de loyer

Je suis un locataire
Vous savez ce que cela implique
Hum
Je suis un locataire
Puis que j’suis pas sur mes terres
Puis que j’suis pas propriétaire
Est-ce une raison de me taire

Je suis locataire
Il n’y a rien à faire
Puisque de la vie je suis tributaire
Raison pour ne pas rien faire

Je suis locataire
Je te dois une partie de mon salaire

Mais a celui tout en haut
Je dois plus que des mots

Toi, oui toi
Tu te dis propriétaire
Oui toi pourquoi tu regarde ailleurs

Ta beau te retourner tu ne trompe pas le veilleur

Tu te dis c’est pour moi
Qu’est.. qu’est pour toi
Puis que tu laisses femme enfant et toit
Puisque que larme, arme, j’ai raison n’empêche rien
Même la vie ne t’appartient pas …

Je suis locataire
Puis que de rien je ne suis pas propriétaire

Qui, mais qui peux se taguer aujourd’hui
D’en être un, et de me narguer

A .Yannick .T.S.

Slam –le remord

Je suis devant vous
Avec ce poids, délivrez moi
Avec une croix, et vraiment pas le choix
Je confesse ce qui, tout mon être affaisse
Mon mal, il n’a de secrets pour personne vous le connaissez
L’on y a que des regrets, et sur la personne vous le reconnaissez
Mon mal, il s’appelle REMORD
Et s’installe quand aux autres on fait du tort
Il est celui des sorts qui tôt ou tard s’abat sur vous même avant la mort
Il tend sa trappe qui toujours vous attrape
Il frappe tel un satrape qui toujours vous rattrape
Le train passé avec les trépassés chacun avec son passé
L’on a beau se surpasser l’on a beau ressasser
Il s’attache a vous et jamais ne se détache et de tache vous tache
A cette existence vous, rattache
Car aucune résistance ne vous en détache
J’ai suscité rivalité
J’ai ressuscité trivialité
J’ai opposé mes passions à votre raison
J’ai opposé mes armes à vos larmes
Et voilà !
J’ai changé d’identité
J’ai changé d’entité
Des noms, des prénoms il y en a en quantité, mais NON !
C’est une allergie qui puise vos énergies, vous uses sous l’écorce où elle gît
Elle laisse des traces comme la crasse
Susurrant à votre oreille, dans le sommeil, au réveil comme en état de veille
Quelle injustice, Quelle injustice tu tisses
Malheureuse hélice avec laquelle tu t’hisses avec délice.
Il faut n’en avoir jamais  pour ne pas savoir qu’il ne vous quitte jamais.
Parce qu’il colle a  la peau et aucune eau  ne la décolle.
Je suis devant vous
Parce que cela me dépasse
Et le temps qui passe
Je vous le dis pour qu’il s’efface
Je suis devant vous, dois je partir avec ce poids,
Délivrez moi

A .Yannick .T.S.

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.....c'est ici!!!...

un peu de sensualité et de tendrese au bout du stylo  ceci est mon coin coeur love ....les ames sensibles ...les lovers ....les pleurnichardss(LOL)...non!!! Ici je prends le risque de faire sortir des tiroirs une parties de moi que j'ai longtemps auculté...NO COMMENT