
Nom du blog :
mes-ecrits
Description du blog :
...la plume sous nos sentiments laissent des traces, chacun à une histoire à raconter...
Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
06.12.2009
Dernière mise à jour :
29.06.2011
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oui set roman est interagissent
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test
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Tous mes remerciements à vous qui avez marqué
durablement et positivement l'homme que je suis
hier 20juillet 2010 date de mon annif:
- papa et maman
- Biggie Joe
- Constant Wensceslas Agboka
- Eligeon tokplo
- Franck alain Dotou
- Nazaire Padonou mon parrain
- Rudy Azanlin
- Saka sefou
- Ines Lakpome
- Arlette Gbaguidi
- Caroline Agier
- Esmeralda Byll Cataria ma frangine
- Juliette Checony
- Laurenda Byll Cataria
- Monique Montcho
- Sandrine
- Véronika Kouton une Frangine
- Winnie lashinee
-Les ami(e)s de Narcose sur OCEAN FM ...
c'est dans ces moments de joie que l'on apprécie l'amitié
de ceux que l'on aime et qu'on se rend compte combien
on compte pour eux... merci de m'avoir fait pleurer de joie
yannick AZANLIN
A QUOI BON ETRE TRISTE QUAND CELUI OU CELLE QUI VOUS REND TRISTE NE VOUS MERITE PAS
CECI N'EST PAS UN FILM. C'EST LA REALITE TRAGIGUE D'UN PEUPLE.
LA CONSTERNATION EST VISIBLE ET LA DOULEUR PALPABLE, L DOULEUR
D'UN PEUPLE D'UNE FAMILLE, D'UN ETRE...L'HUMANITE QUI ME
CARACTERISE NE PEUT Y RESTER INDIFFERENTE. CEL N'ARRIVE PAS QU'AUX
AUTRES. ET EN CE MOMENT UNE EPAULE EST UN SECOUR BIEN MAIGRE MAIS
SIGNIFICATIF. JE NE PEUX RESSENTIR VOTRE DOULEUR DANS L'INTENSITE
ORIGINELLE DE SA NAISSANCE MAIS LA MIENNE A LA VOTRE S'ASSOCIE POUR
VOUS SIGNIFIEZ MA PEINE D'HUMAIN DE VOUS VOIR EN PEINE...PEUPLE DE POLOGNE
HOMMES ET FEMMES LIBRES QUE CETTE SOUFFRANCE AJOUTEE A LA VOTRE QUOTIDIENNE
NE VOUS EGARE PAS. QUE LA DOULEUR NE PRENNE PAS LE DESSUS SUR LE PEUPLE POLONAIS
JE VOUS SOUHAITE DES JOURS QUI PANSENT LES BLESSURES, SI VOUS NE POUVEZ OUBLIER
SI LA GUERISON EST LONGUE, VOUS SUPPORTEREZ...
Yannick AZANLIN ( DU BENIN )
BENINOIS BENINOISE....VUE LES CATASTROPHE QUI DEPUIS UN MOMENT SABBATTENT SUR LES PAYS PARTANT DE HAITI EN VENANT AU CHILI PUIS MAINTENANT LA POLOGNE EN PASSANT PAR LES SCANDALES DE LEGLISE CATHOLIQUE JE CROIS QU4IL EST DE NOTRE DEVOIR DE NE PAS FERMER NOTRE COEUR ET D'APPORTER NOTRE OPINION NOTRE FORCE ET SURTOUT NOTRE SOUTIENT ET NOTRE COMPASSION A QUI EST DANS LE BESOIN NE SERAIT CE QUE MORAL...NOTRE HUMANITE J'ENTENDS PAR LA NOTRE NATURE HUMAINE NE SE REVELERA PAS DANS NOS PAROLES MAIS DANS NOS ACTES ET NOTRE CAPACITE A TRABSCENDER DES CONFLITS ET AUTRES CONSIDERATIIONS QUI EN ETANT JUSTIFIEES ET LEGITIME NOUS RALENTISSENT DANS NOTRE DEVOIR DE NOUS SOUTENIR TOUS ET DE NOUS CONSCIENTISER TOUS...LA TERRE CE N'EST PAS L'AMERIQUE . LA FRANCE LE BURKINA OU LE BENION NI LE PAKISTANT MAIS CEST TOUS ENSEMBLE CAR NOUS SOMMES ET JE VOUS L'ASSURENT TOUS ET TOUTES DE QUELQUE PAYS QUE CE SOIT LE CHAINON DE LA GRANDE CHAINE QUI NOUS RETIENS A LA VIE ET AU BONHEUR AVEC GRAND "V '" ET GRAND "B" ... PERSONNE NE SURVIVRA JE VOUS LE CONFIRME SI CHACUN TRAVAILLE POUR LUI ..JE MADRESSE A VOUS CITOYENS COMME MOI DE CE PAYS , A VOUS CITOYENS MAIS A NOUS CITOYEN DE LA TERRE..J'EN AI FINI
Yannick AZANLIN
A lire jusqu'au bout, ça donne à réfléchir!
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre.
L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner.
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil..
Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.
L'infirmière , heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'œil dehors.
Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.
L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.
Epilogue :
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.
La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.
Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Bonne lecture
Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.
L'origine de ce message est inconnue, mais il porte-bonheur à chaque personne qui le transmet.
Ne gardez pas cette page.
N'envoyez pas d'argent.
Envoyez-la à cinq de vos amis à qui vous souhaitez la bonne chance.
Bonne journée et Excellente semaine à tous.